

Facture électronique : Cerfrance Seine Normandie mobilisé aux Mardis de l’Eco
Publié le 21.05.2025

Une échéance à ne pas sous-estimer
À partir du 1er septembre 2026, toutes les entreprises assujetties à la TVA devront recevoir leurs factures au format électronique. De plus, à partir du 1er septembre 2027, les TPE, PME et micro-entreprises devront émettre leurs factures au format électronique. Une évolution réglementaire majeure, qui ne se limite pas à un simple changement de format. C’est l’ensemble du circuit de facturation, de transmission et de traitement comptable qui est repensé.
Dans ce contexte, Cerfrance Seine Normandie se positionne comme un acteur de référence, déjà engagé dans la préparation de ses 9 000 clients-adhérents assujettis à la TVA à cette transformation.
« Nos équipes ont commencé par se former afin d’être en situation de changer les pratiques de nos adhérents, de répondre à leurs attentes et de leur proposer les meilleures solutions », explique Sabine Enjalbert.
Un accompagnement structuré et une plateforme dédiée
Au cœur de cette transition, le rôle des Plateformes de Dématérialisation Partenaires (PDP) est crucial. Pour garantir un accompagnement complet, le réseau Cerfrance a développé sa propre plateforme : Effinum, immatriculée PDP.
Un outil pensé pour répondre aux exigences réglementaires, mais aussi aux réalités opérationnelles des entreprises, comme l’a rappelé Sébastien Confais :
« On s’est penché sur tout ce que doivent connaître les dirigeants d’entreprise et nous avons élaboré en interne la formation de nos collaborateurs pour leur permettre d’avoir les bonnes réponses aux interrogations légitimes des services dédiés dans les entreprises : en quoi cela consiste, le qui, le quand et le comment. »
Un enjeu stratégique pour les entreprises
Au-delà de l’obligation légale, la facture électronique représente une opportunité de modernisation et de pilotage plus efficace de l’activité. Une vision partagée par la direction de Cerfrance Seine Normandie :
« Il faut se préparer. Il est important que les entreprises n’attendent pas le dernier moment. Le sujet peut être générateur d’inquiétude mais pour y répondre, il y a précisément des structures pour assurer l’accompagnement. C’est une formidable opportunité pour les dirigeants de faire un bilan de la gestion des processus et du pilotage de leur activité », souligne Sabine Enjalbert.
« On leur rappelle l’échéance du 1er septembre 2026, les enjeux et leur nécessaire implication. N’attendez pas de vous rapprocher de l’échéance. Il est sage de s’y mettre avant la fin 2025 », conclut Sébastien Confais.